Dans les années 70, alors que j'étais président du club de judo, André a toujours été disponible, souriant et efficace quand il fallait emmener les judokas à diverses compétitions ou lorsqu'il y avait des tapis à transporter d'un club à un autre, se démenant parfois durant des heures pour que son véhicule en panne puisse être réparé à temps. C'est le portrait de cet homme que je garde en mémoire.
De même après cette époque je l'ai souvent rencontré et il n'a jamais changé, même quand il avait un problème à exposer, c'était toujours avec calme et bonhomie...
Quand une telle personne disparait, c'est une parcelle d'humanité qui se perd.
A toute sa famille, à ses amis et à ses anciens collègues je présente mes plus sincères condoléances.